Les 5 soft skills du DAF que toutes les entreprises s’arrachent

La transformation digitale de l’entreprise, l’automatisation et l’intelligence artificielle, poussent déjà depuis quelques temps les entreprises à miser sur le capital humain, les « soft skills » ont donc une importance de plus en plus grande. Le brusque ralentissement de l’économie suite à l’épidémie du COVID-19 presse encore plus les entreprises à reconnaître les bonnes attitudes que leurs collaborateurs clés doivent adopter. Dans ce contexte, voici les 5 soft skills d’un DAF qui réussit et qui séduit les dirigeants d’entreprises.
Le DAF qui réussit sait intégrer et articuler la fonction finance avec les autres fonctions de l’entreprise. Il participe activement au décloisonnement de tous les services (commercial, marketing communication, production ou opérations…) pour une meilleure collaboration et un meilleur partage d’informations et de données fiables et facilement accessibles.
C’est de cette manière que le DAF dispose d’une plus grande visibilité sur le business et les clients, et donc, d’un avantage certain pour accompagner les décisions liées à la stratégie et la croissance de l’entreprise.
« En tant que DAF, nous devons en permanence prendre le pouls de l’organisation. Chaque acteur de l’entreprise a un impact sur la trésorerie et la rentabilité, tous les jours. Nous devons donc être au plus prêt des équipes pour comprendre les logiques internes et expliquer les impacts financiers » résume Régis DOITEAU, Directeur Financier à temps partagé du réseau Bras Droit Des Dirigeants.
À l’heure du big data, le DAF doit se muer en mentor pour ses proches collaborateurs et doit savoir les faire évoluer.
Le DAF qui réussit :
Identifier, attirer, convaincre et fidéliser les meilleurs profils dans un contexte où le monde du travail est en profonde mutation, c’est aussi l’un des enjeux clés du DAF.
Du point de vue de Régis DOITEAU, « le rôle d’un DAF aujourd’hui est celui d’un chef d’orchestre. Nous devons articuler les talents qui composent l’entreprise avec une prolifération d’outils logiciels. L’évolution technologique est plus rapide que la compréhension que l’on en a. C’est anxiogène pour la plupart des gens ».
Le DAF qui sait toujours bien s’entourer et qui obtient l’adhésion et la pleine implication des équipes :
Le bon DAF doit savoir nouer une relation transparente et de confiance avec les clients, partenaires, banques, investisseurs, fournisseurs et parfois même les concurrents.
Le DAF doit réussir à mettre en avant aussi bien les indicateurs financiers qu’extra-financiers de l’entreprise pour :
« La communication financière est fondamentale » reprend Régis DOITEAU. « En interne, cela donne du sens aux équipes qui œuvrent au quotidien dans l’entreprise. En externe, cela permet de travailler en confiance avec les tiers, notamment les banques. Pour qu’elles soient des partenaires efficaces, il faut leur apporter de la transparence, de la cohérence. »
Être un bon directeur financier, c’est aussi s’impliquer vraiment en matière de RSE et mettre en avant les bonnes pratiques en matière :
« Les bonnes pratiques financières ne sont pas réservées aux grandes entreprises » estime Régis DOITEAU. Il rappelle que « de plus en plus de PME et même de TPE font appel à des DAF à temps partagé, via un contrat de prestation de services. »
Il sait demander de l’aide et n’hésite pas à faire appel à des partenaires externes lorsqu’il détecte des failles dans son organisation. Pour rester agile et agir rapidement, il choisit des intervenants opérationnels triés sur le volet et reconnus pour leur expertise et la qualité de leurs services :
Régis DOITEAU conclut : « Le DAF n’est qu’un co-pilote. C’est le dirigeant qui tient le volant, passe les vitesses. Nous devons permettre au dirigeant de pendre des décisions, chaque jour, sur la base de données fiables. Et nous traduisons dans les chiffres sa vision stratégique. »
Les entreprises qui n’ont pas de Directeur Financier peuvent consulter un cabinet de directeurs administratifs financiers à temps partagé comme celui du Bras Droit des Dirigeants. Regis DOITEAU précise : « Tout comme le DAF permanent, le DAF à temps partagé dispose des compétences ainsi que des soft skills indispensables à ce poste. A la seule différence qu’il travaille en mode mission et qu’il intervient 0.5 et 3 jours par semaine dans l’entreprise. C’est le dirigeant qui définit le bon rythme d’intervention pour mener à bien les actions nécessaires à la bonne gestion financière de l’entreprise ou du groupe. »
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